Cette œuvre a été sculpté dans un calcaire de Champlain. Cette pierre a été choisi sciemment non loin de la rivière Richelieu (Havelock) car l’œuvre devait évoquer jusque dans sa matière le temps de la colonisation de cette rivière et des collines montérégiennes dont Saint Hilaire situé dans la vallée du Richelieu.

En 2009 l’année suivante de la commémoration du 400e de la ville de Québec une exposition eut lieu à St-Hilaire pour souligner le passage de Champlain sur le Richelieu lors de son voyage vers le lac Champlain.

L'œuvre rappelle la pointe des grands canots d’écorce Algonquins. Sur ce marbre, on peut apercevoir les lits de la pierre comme des vagues. Cette œuvre souligne l’importance des routes fluviales dans le développement de la société québécoise. Sur la seconde photo prise en 2009, on aperçoit au pieds de la sculpture une reproduction d’une carte d’époque montrant le parcours de Champlain à cette époque. 

À l’origine, cette œuvre était composée de 3 parties : le rabaska sculpté dans le calcaire de Champlain, le pied de métal et une reproduction de la carte